Cela permettrait de faciliter le commerce et offrirait des opportunités d’investissement aux entreprises des membres de l’alliance, a expliqué le président du département sud-africain au sein du Conseil d’affaires des BRICS.
En cas de feu vert, les institutions privées et publiques africaines auront accès au capital de la Nouvelle banque de développement, qui s’élève à plus de 50 milliards de dollars, a-t-il ajouté.
Selon le responsable, l’établissement des BRICS dispose déjà d’une structure en charge de financer des projets dans des pays non membres.
Les BRICS sont un groupe de neuf pays qui se réunissent en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Égypte, Émirats arabes unis, Éthiopie et Iran