Les députés se sont penchés sur le projet de loi d’amnistie couvrant la période de 2021 à février 2024. Ce présent projet de loi est soutenu par le Président Macky Sall qui a ordonné son examen en procédure d’urgence dans le but d’apaiserle climat politique et social, de renforcer la cohésion nationale afin de permettre à certains personnes qui ont maille à partir de la justice de participer pleinement à la vie démocratique.
Cependant certains députés ont exprimé leur désaccord lors de la commission des lois car selon eux ce projet de loi est de nature à enfreindre l’action de la justice pour enquêter sur les crimes de sang, les incendies volontaires, les saccages des biens publics et privés. Selon eux la réconciliation nationale ne peut se faire en dehors de la vérité.
Les forces occultes, spéciales, et des faits jugés de terrorisme sont emportés dans ce projet de loi y compris l’attaque du bus tata à yarakh occasionnant la mort vif des deux citoyens.
Une commission d’indemnisation sera mise en place à la suite de l’adoption du projet de loi d’amnestie mais le gouvernement défend le pardon et la tolérance lit on dans le rapport du projet de loi.
Pour le ministre garde des Sceaux, une procédure d’indemnisation sera mise se en place, à travers une commission qui se chargera d’étudier tous les cas et dossiers y afférents.
A ce propos Aissata Tall Sall a rappelé que le pardon est au dessus de la réparation et il faut avoir un sens de l’élévation absolu pour y arriver.